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IARD
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Ah, Airbnb… Le Graal des week-ends bien rentabilisés, la promesse de quelques billets en plus en laissant ses clés à des inconnus (sympas hein, mais quand même). Sauf que voilà : avant de transformer son salon en suite parentale, il y a une petite question qui pique un peu… Est-ce que votre assurance vous couvre ?
Pas de panique, on vous explique. Sans jargon, sans pansement sur la tête, mais avec un max de bon sens et quelques conseils qui font mal aux dégâts… matériels.
Sous-louer son logement : votre contrat IARD est-il au courant ?
Le contrat IARD multirisques, c’est le couteau suisse de votre protection du foyer. Il couvre les incendies, les catastrophes naturelles, les dégâts des eaux… Bref, les galères du quotidien. Mais dès que vous passez en mode hôte Airbnb, c’est un autre film : vous devenez ce qu’on appelle un « loueur meublé de courte durée ». Et ça, tous les contrats n’aiment pas trop.
Concrètement, si un dégât survient pendant qu’un locataire Airbnb est là – vase explosé, vin rouge sur le canapé, baignoire transformée en piscine municipale – votre assureur pourrait lever un sourcil dubitatif. Et refuser d’indemniser. Sauf si la location saisonnière est explicitement mentionnée dans votre contrat. D’où l’importance de jeter un œil dessus… ou mieux, de le faire avec un courtier en assurance habitation.
Quand Airbnb propose aussi une couverture… mais pas complète
Airbnb vous dit qu’ils ont une “protection hôte” jusqu’à 3 millions d’euros. Et c’est vrai. Mais on parle ici de ce qu’ils appellent la garantie “Hôte”, pas de la même protection qu’un contrat IARD signé avec amour chez un assureur français.
C’est un peu comme si on vous offrait un gilet pare-balles… mais sans les manches. Vous serez peut-être couvert pour certains dégâts matériels importants, mais pas pour les dégradations mineures, le vol d’un objet précieux (adieu MacBook Pro), ou les dommages causés à un voisin (exemple vécu : la soirée raclette improvisée qui déclenche l’alarme incendie du palier… True story).
Moralité : mieux vaut prévenir que… payer de sa poche
Louer sur Airbnb, c’est chouette. Mais c’est un peu comme faire du ski en baskets : ça peut passer… jusqu’à ce que ça ne passe plus. La bonne nouvelle ? Il existe des extensions de contrat IARD pensées pour ce type d’usage, voire des options en assurance accidents de la vie qui couvrent aussi les locataires temporaires.
Et si vous avez besoin d’un coup de pouce pour lire entre les lignes de votre contrat, ou obtenir un devis clair et adapté, faites appel à un vrai humain : un courtier en assurance habitation. Même qu’on en connaît des très bons chez NRG Partners.
En résumé : si vous mettez votre cocon sur Airbnb, parlez-en à votre assureur. Mieux, confiez l’affaire à un courtier en assurance prévoyance (coucou nous) pour avoir toutes les garanties nécessaires… et éviter les mauvaises surprises.
Besoin de faire le point sur votre contrat IARD ? On vous propose un audit simple et gratuit. Ça vous évite les sueurs froides et ça ne prend que quelques minutes.
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