Faut-il vraiment aller chez le médecin pour un rhume ? Et qui paie quoi ?
Nez bouché, voix de canard et un mini stock de mouchoirs qui fond à vue d’œil : pas de doute, vous avez chopé un bon vieux rhume. La tentation est grande d’appeler direct le médecin (ou de faire semblant d’avoir quelque chose de grave pour justifier un arrêt de travail). Mais… est-ce bien nécessaire ? Et au fait, qui rembourse quoi dans tout ça ? Suivez le guide, on vous fait le tour.
Un rhume, ce n’est pas la fin du monde (même si ça pique)
On parle ici d’une infection virale bénigne : fièvre légère (ou pas du tout), maux de gorge, sinus encombrés, toux modérée… Bref, un menu assez classique mais pas dangereux – sauf exceptions. La bonne nouvelle ? Dans la plupart des cas, le rhume passe tout seul en 7 à 10 jours. Ce qu’il vous faut, c’est surtout du repos, de l’hydratation, et un peu de patience (et de doliprane pour les plus courageux).
Un petit détour chez le médecin est donc rarement indispensable. Sauf si :
- vous avez de la fièvre depuis plus de 3 jours,
- vous avez des douleurs dans les oreilles ou la poitrine,
- le rhume ne passe pas au bout de 10 jours,
- vous êtes une personne à risque (bébés, personnes âgées, immunodéprimées, etc.).
Dans ces cas-là, oui, on consulte. Sinon, laissez votre doc tranquille et pensez au pharmacien : c’est souvent le meilleur coach santé de quartier.
Médecin ou pas, les dépenses, elles, tombent
Supposons que vous franchissiez le pas et alliez voir votre médecin pour votre rhume. Combien ça coûte ? En général, la consultation chez un médecin généraliste secteur 1 est facturée 25 euros. L’Assurance Maladie prend en charge 70 %, soit 17,50 €, et le reste est remboursé (ou pas…) par votre complémentaire santé.
Petit mais costaud, le reste à charge peut grimper si vous consultez un médecin en secteur 2 avec dépassements d’honoraires… ou si vous êtes en dehors du parcours de soins. C’est là qu’un courtier en assurance santé comme NRG Partners entre en scène : pour vous aider à choisir une mutuelle qui couvre vraiment vos besoins. Parce que payer 60 euros pour qu’on vous dise de boire du gingembre, ça pique plus que le rhume lui-même.
Et si vous vous arrêtez de travailler ? L’arrêt maladie est pris en charge uniquement si vous en avez un (logique) et sous conditions. Là encore, une assurance prévoyance bien conçue peut éviter les galères en cas de perte de revenu. Le genre de détails qu’on préfère anticiper (et que nos courtiers décortiquent pour vous).
Rhume aujourd’hui, prévention pour demain
Vous l’aurez compris : consulter pour un rhume, ce n’est pas obligatoire. En revanche, penser protection du foyer, ça, c’est une bonne habitude. Une bonne assurance santé, une couverture efficace en cas d’arrêt de travail, une assurance accidents de la vie… Toutes ces garanties, on n’en voit l’intérêt que quand il est (parfois) trop tard.
Et même si ce n’est « qu’un rhume », un épisode grippal mal géré peut vite dégénérer, surtout si vous cumulez responsabilités, enfants à gérer et boulot stressant. Des solutions existent (d’ailleurs, un contrat IARD multirisques peut aussi englober certaines protections santé). Le tout, c’est d’être bien conseillé, sans se noyer dans les petites lignes.
Chez NRG Partners, on est là pour ça. Avec un devis assurance habitation ou santé, un audit gratuit ou juste un bon conseil, on vous aide à respirer un peu mieux — avec ou sans mouchoir.
En résumé : le rhume n’est pas une urgence médicale. Misez sur la prévention, et faites le point sur vos garanties… avant que votre santé ne vous joue un tour. Besoin d’un coup de pouce ? Faites le point avec un courtier NRG Partners, en toute simplicité.