Combien ça coûte un arrêt de travail sans complément ?
On ne le souhaite à personne, mais un jour, bim, un accident de vélo, une vilaine grippe ou un petit burn-out de fin d’année… et vous voilà en arrêt de travail. Bonne nouvelle, la Sécu prend le relais. Moins bonne nouvelle : elle ne prend pas tout en charge. Et sans complément de salaire, ça peut vite piquer (même plus que l’angine d’origine).
Alors combien ça coûte vraiment, un arrêt de travail sans complément ? Et comment s’éviter des sueurs froides… en pleine convalescence ? On fait le tour en trois coups de pelle (métaphorique, bien sûr).
Ce que verse la Sécu pendant votre arrêt
D’abord, un petit point chiffres : la Sécurité sociale vous verse des indemnités journalières équivalentes à 50 % de votre salaire brut, après un délai de carence de trois jours. Oui, seulement la moitié. Et comme le brut, ce n’est pas le net, le décalage se fait vite sentir sur votre compte en banque.
Par exemple, si vous gagnez 2 000 € net par mois, l’indemnité de la Sécu tournera autour de 660 € les deux premières semaines (car elle se base sur le brut, plafonné), puis environ 1 000 € par mois. Autrement dit : vous perdez près de la moitié de vos revenus.
C’est comme si vous faisiez vos courses avec un caddie à moitié plein… tous les jours.
Et pour couronner le tout, ces indemnités sont imposables. Oui, même quand vous êtes en jogging avec une poche de glace sur le pied.
Sans complément, c’est votre budget qui fait la grimace
Un arrêt de travail court, ça passe encore. Mais s’il dure plusieurs semaines, voire des mois, votre budget peut rapidement tanguer. Les charges fixes, elles, ne prennent jamais de congés : loyer, prêts, factures… tout ça continue de tomber, même quand vos revenus fondent comme neige au soleil.
Et si à ça s’ajoutent des frais médicaux non remboursés, des enfants à nourrir ou un contrat IARD multirisques qui expire pile au mauvais moment… vous voyez l’ambiance.
D’où l’intérêt de penser à une solution avant que le pépin arrive : les garanties de prévoyance. Un bon contrat vous évite de naviguer à vue en cas d’imprévu, avec une prise en charge qui complète les indemnités de la Sécu pour maintenir votre niveau de vie.
Bonne nouvelle : on peut l’anticiper (sans boule de cristal)
Heureusement, il existe des contrats de prévoyance qui vous protègent contre ce scénario digne d’un film catastrophe. Un courtier en assurance prévoyance peut vous aider à trouver la couverture adaptée à votre situation, à votre budget et à vos besoins réels (spoiler : c’est rarement celui vendu en 5 minutes au coin d’un site web).
Chez NRG Partners, par exemple, on analyse vos garanties actuelles, on observe les petits trous dans la raquette et on vous propose des solutions concrètes. Comme ça, si un grain de sable vient gripper la machine, vous n’aurez pas à choisir entre payer le loyer ou remplir le frigo.
Et bonus : si vous êtes aussi à la recherche d’une protection du foyer, d’une assurance accidents de la vie ou d’un devis assurance habitation, un courtier en assurance global peut vous accompagner sur tous les fronts.
Conclusion : Un arrêt de travail sans complément, c’est comme une balade à vélo sans selle : ça passe, mais c’est inconfortable. Mieux vaut prévenir que perdre 40 % de son salaire d’un coup. Faites le point sur vos garanties avec un pro (humain et sympa de préférence…). Les courtiers de NRG Partners sont justement là pour ça.