Rester chez soi après un accident : quelles aides financières ?

Vous voyez ce moment où vous ratez une marche, estimez mal la hauteur du dernier pavé… et vous retrouvez plâtré du pied au genou ? Oui, un accident bête, ça n’arrive pas qu’aux autres. Et parfois, il chamboule le quotidien au point qu’il devient impensable de reprendre le boulot dans l’immédiat. Ou même de sortir faire ses courses.

Alors comment s’en sortir financièrement quand on doit rester chez soi longtemps à cause d’un accident ? Bonne nouvelle : des aides existent. Et encore meilleure nouvelle : on va vous aider à les comprendre (sans jargon, promis).

Les aides publiques accessibles après un accident

Commençons par ce que l’État peut faire pour vous. Sans pour autant vous faire sentir comme une case administrative parmi d’autres, plusieurs dispositifs prévoient un soutien en cas d’incapacité temporaire.

Arrêt de travail ? Vous pouvez toucher des indemnités journalières de la Sécurité sociale, calculées sur la base de votre salaire. Mais attention : ces indemnités ne couvrent généralement qu’une partie de votre revenu. Et souvent, elles ne suffisent pas à maintenir votre niveau de vie habituel.

Besoin d’aide au quotidien ? Si votre autonomie est réduite, vous pouvez faire appel à l’Allocation journalière d’accompagnement ou solliciter la MDPH pour réfléchir à une aide humaine ou matérielle (aménagement du logement, aide-ménagère, etc.).

Et si vous êtes indépendant ? Ça se complique un peu. Les aides existent, mais elles sont souvent moins protectrices. C’est là qu’on mesure l’intérêt d’un bon contrat de prévoyance… surtout adapté à son statut.

La prévoyance : un vrai bouclier quand l’accident frappe

Imaginez : vous êtes immobilisé, vos charges continuent à tomber (loyer, remboursements, croquettes du chien). Les indemnités de base ne couvrent pas la moitié. Heureusement, si vous avez souscrit une assurance accidents de la vie ou une bonne couverture de prévoyance, votre situation change du tout au tout.

Un courtier en assurance prévoyance (coucou, nous c’est NRG Partners) vous aide à trouver le contrat qui prévoit :

1. Des indemnités journalières pour compenser votre perte de revenus, au centime près si besoin.

2. Des rentes d’invalidité, si les séquelles sont lourdes.

3. Des services d’assistance : aide à domicile, livraison de repas, taxis pour vos rendez-vous médicaux… De quoi rester chez vous sans transformer votre salon en terrain d’entraînement ninja.

Le plus : une bonne prévoyance, c’est personnalisable. Et surtout, on ne parle pas d’un coût exorbitant mais d’une vraie protection du foyer. Parce que votre tranquillité vaut bien quelques euros par mois, non ?

Et l’assurance habitation dans tout ça ?

On n’y pense pas toujours, mais votre contrat IARD multirisques (autrement dit, votre assurance habitation) peut aussi jouer un rôle si votre accident est lié à un sinistre domestique. Exemple : vous tombez à cause d’une fuite d’eau dans la cuisine. Selon les garanties, vous pourriez être indemnisé pour les dégâts… mais pas pour vos douleurs ni vos arrêts de travail – c’est là que l’assurance accidents de la vie entre en jeu, justement.

Petit conseil amical : jetez un œil à vos garanties actuelles. Et si vous ne comprenez pas un mot des 37 pages en petits caractères, demandez un devis assurance habitation chez un courtier en assurance santé et prévoyance. Comme ça, au moins, vous saurez où vous mettez les pieds (même plâtrés).

En résumé ? Mieux vaut prévenir que panser

Un accident peut tout remettre en question, mais il n’a pas à vous mettre à genoux financièrement. Entre les aides publiques, la prévoyance privée et les bonnes garanties, vous pouvez rester chez vous en toute tranquillité, sans tirer un trait sur votre budget ou votre dignité.

Besoin de faire le point sur vos contrats actuels ? NRG Partners vous accompagne dans le flou administratif et vous aide à choisir la bonne protection. Parlez-en avec un expert, c’est gratuit et bien plus rapide que de lire 14 PDF.