Accident de sport : qui paie les frais ?

Accident de sport : qui paie les frais ?

Accident de sport : qui paie les frais ?

Une cheville qui tourne en plein match de foot, une épaule qui craque pendant une rando… même les sportifs du dimanche peuvent finir sur le banc de touche. Et là, une question vient souvent plus vite que les secours : qui règle la facture ? Spoiler : pas toujours la Sécu. Heureusement, on vous explique tout de manière claire (et sans claquage de cerveau).

La Sécu, votre premier filet… mais pas un filet de compet

En cas d’accident pendant une activité sportive, l’Assurance Maladie prend en charge une partie des frais. Consultation chez le médecin, radios, plâtre… oui, mais à hauteur de ses fameux taux de remboursement (vous savez, les 70 % sur la base sécu qui ne couvrent pas forcément vos dépenses réelles). Et pour les soins hors parcours classique ou non remboursés ? C’est pour votre pomme.

Exemple concret : vous tombez en VTT, vous vous faites une belle luxation de l’épaule. La Sécu rembourse 70 % de la consultation (23 €), votre kiné vous coûte 50 € la séance, la radio 40 €… et la suite s’allonge vite. Autrement dit, sans complémentaire santé, le sport peut faire mal au corps et au porte-monnaie.

Et si c’est quelqu’un d’autre qui m’a blessé ? La responsabilité en jeu

Match de basket improvisé, adversaire un peu trop motivé et bim : entorse ou fracture. Si quelqu’un d’autre est responsable de votre blessure, sa responsabilité civile peut être engagée. Mais (oui, il y a un mais), il faut souvent prouver que le geste était fautif – et dans un sport où contacts riment avec règles du jeu, c’est loin d’être garanti.

Résultat : même si Pierre vous a rentré dans les côtes par mégarde, vous risquez quand même de devoir avancer tous les frais. Et c’est là qu’une assurance accidents de la vie (ou GAV, Garantie des Accidents de la Vie) peut faire toute la différence. Ce type de contrat couvre les conséquences des bobos du quotidien, y compris en cas de sport non pratiqué en compétition ou provoqué par un tiers non identifié. Autrement dit : même si vous vous blessez tout seul comme un grand.

Le bon mix : mutuelle, prévoyance et assurance adaptée

Parlons concret : une complémentaire santé solide vous évite de creuser dans vos économies pour chaque IRM ou kiné. Un contrat de prévoyance peut compenser une perte de revenus si l’accident vous met hors jeu pro pendant un temps. Et une assurance accidents de la vie vient compléter le tout avec une protection plus large contre les imprévus.

C’est là qu’un courtier en assurance santé ou prévoyance comme NRG Partners entre en scène : pour trouver la combinaison qui colle à votre mode de vie (sportif ou juste un peu maladroit). En prime, pensez aussi à vérifier vos garanties côté contrat IARD multirisques (dans certains cas, une assurance habitation peut couvrir un accident chez vous ou au club).

Et si vous êtes plutôt roller dans le salon que trail à la montagne, même combat : mieux vaut vérifier la protection du foyer dans vos contrats. Car quand ça glisse, ça ne prévient pas.

En résumé : le sport, c’est bon pour la santé… sauf quand ça tourne mal. Et dans ce cas, mieux vaut être bien couvert pour éviter les mauvaises surprises sur vos relevés bancaires !

Besoin de faire le point sur vos garanties ? Demandez conseil à un courtier comme NRG Partners : on ne garantit pas vos mollets, mais on protège vos finances.