Maison en rénovation : quelles garanties activer

Maison en rénovation : quelles garanties activer

Maison en rénovation : quelles garanties activer

Entre deux chantiers et trois tuiles (parfois au sens propre), rénover une maison, c’est un peu comme jouer au Rubik’s Cube… en blind test. On pense avoir tout prévu, mais il suffit d’un coup de peinture ou d’un mur porteur un peu trop enthousiaste pour que tout bascule. Et là, si l’assurance ne suit pas, bonjour les sueurs froides. Petit tour d’horizon des garanties à activer pour rénover sereinement.

1. Une assurance habitation qui suit le rythme des travaux

Vous le saviez peut-être (ou pas) : votre contrat IARD multirisques ne couvre pas automatiquement tous les travaux de rénovation. Surtout s’ils touchent à la structure du bâtiment, à l’électricité ou à la toiture. Autrement dit, si vous refaites juste la peinture du salon, pas de panique. Mais si vous tombez une cloison, installez une véranda ou refaites toute la plomberie, là, ça mérite un coup de fil à votre assureur… ou mieux : à votre courtier en assurance.

Exemple vécu : Marc, bricoleur du dimanche, s’attaque à une cloison « non porteuse » selon un tuto vu sur YouTube. Résultat : une semaine sans eau à cause d’un tuyau percé et un plafond à refaire. Verdict ? Pas couvert. Parce que son contrat n’avait pas été mis à jour avant les travaux.

Prenez l’habitude de demander un devis assurance habitation adapté à vos projets avant d’attaquer la moindre cloison. C’est moins cher que de refaire un plancher…

2. L’assurance dommages-ouvrage : la plus coûteuse… et la plus mal aimée

Oui, elle coûte un bras. Et non, elle n’est pas facultative. Dès qu’il y a des travaux de gros œuvre (toiture, fondations, etc.), la dommages-ouvrage est obligatoire. Elle vous permet d’être indemnisé rapidement sans avoir à attendre de savoir qui est responsable parmi les artisans.

On la boude souvent parce qu’elle pique un peu au portefeuille, mais elle peut vous sauver la mise. Pensez-la comme une protection du foyer, pas comme une dépense en plus. Et si vous avez besoin de bien la négocier, un courtier en assurance prévoyance (c’est aussi leur dada) peut vous aider à y voir plus clair sans déchiffrer du charabia juridique.

3. La garantie responsabilité civile du maître d’ouvrage

Elle fait moins rêver que le parquet en chêne massif, mais elle est tout aussi essentielle. Vous êtes « maître d’ouvrage » si vous commandez les travaux (même si vous ne touchez pas à une perceuse). Et si un ouvrier se blesse ou qu’un échafaudage tombe sur la voiture du voisin… c’est pour vous. Oui, même si vous n’êtes pas sur le toit avec un marteau.

La responsabilité civile du maître d’ouvrage vous couvre dans ce genre de cas. Et pour les petits bobos domestiques qui arrivent même après les travaux finis (entorse sur le tapis, chute dans l’escalier fraîchement rénové), pensez à l’assurance accidents de la vie. C’est un coup de pouce quand la vie quotidienne trébuche un peu.

En résumé : mieux vaut prévenir que tuiler

Rénover sans stress, ce n’est pas seulement bien suivre son planning ou choisir la bonne teinte de vert sauge. C’est aussi savoir s’entourer, surtout côté assurance. Avant de lancer les travaux, un audit de vos garanties, une mise à jour de votre contrat IARD ou un point rapide avec un expert, ça peut vraiment faire la différence.

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