Premier vaccin du chiot : assurance, mode d’emploi
Ça y est, il est là. Tout petit museau, grandes oreilles, énergie à revendre : votre chiot vient de faire son entrée dans votre vie… et dans votre salon. Et comme tout parent responsable (de poils), vous avez prévu une visite chez le véto. Mais avant de dégainer la carte bleue, une question vous trotte dans la tête : l’assurance prend-elle en charge son premier vaccin ?
Bonne nouvelle : on vous explique tout, simplement. Pas de jargon, pas d’os à ronger.
Premier vaccin : un passage obligé (ou presque)
Le premier vaccin du chiot, c’est un peu comme sa rentrée en maternelle : il est encore petit, un peu perdu, mais il faut bien commencer quelque part. En général, le premier vaccin se fait autour de 8 semaines. Il protège contre des maladies sérieuses comme la maladie de Carré, l’hépatite de Rubarth et la parvovirose (oui, ça sonne comme un sort d’Harry Potter, mais ce n’est pas magique…). Et devinez quoi ? C’est souvent le début d’une série de rappels !
Pour le chiot, c’est vital. Pour vous, c’est une dépense. Et selon le praticien, la note peut grimper plus vite qu’un labrador sur un canapé tout neuf. D’où l’intérêt de s’intéresser de près à… oui, vous l’avez deviné : l’assurance chien.
Ce que peut prendre en charge une assurance chien
Entrons dans le vif du sujet : qu’est-ce que l’assurance santé animale peut rembourser ? Eh bien, ça dépend. Certaines formules, notamment les plus basiques, ne couvrent que les accidents ou les maladies. Donc si votre chiot se prend pour Spider-Man et se foule une patte en escaladant la table basse, vous êtes bon. Mais pour les vaccins préventifs ? C’est une autre histoire.
Pour cela, il faut généralement une formule intermédiaire ou premium. Ces contrats prévoient un forfait prévention (souvent entre 50 et 150 euros par an) qui couvre les vaccins, la stérilisation, les vermifuges, etc.
Exemple concret : si votre contrat inclut un forfait prévention de 100 € et que le vaccin vous coûte 65 €, bingo, vous êtes remboursé. Une bonne manière de coupler santé de votre animal et sérénité de votre portefeuille.
C’est là qu’un courtier en assurance santé (coucou, NRG Partners) peut vous aider à trouver LA formule qui colle à votre chiot… et à votre budget.
Adopter un chiot, c’est aussi protéger son foyer
Un chiot, ça bouscule tout : votre routine, votre décoration, et même vos contrats d’assurance. Car au-delà de sa santé, il peut aussi être à l’origine de dégâts (eh oui, la table en chêne n’a pas survécu à l’étape “je fais mes dents”).
Dans ce cas, un bon contrat IARD multirisques (celui qui protège l’habitation, les accidents domestiques, etc.) est indispensable. En prime, cela renforce la protection du foyer, surtout si vous avez des enfants.
Et si vous êtes du genre prudent (ou juste pas fan des surprises), un petit tour chez votre courtier en assurance prévoyance peut vous éviter bien des nuits blanches. Parce que oui, l’assurance accidents de la vie, ce n’est pas que pour vous… c’est aussi pour Monsieur Toutou.
En résumé : assurance et vaccin font bon ménage (si bien choisis)
Faire vacciner son chiot, c’est non négociable. Mais autant le faire avec une bonne couverture santé. Et pour ça, inutile de creuser comme un terrier perdu dans la paperasse : un courtier en assurance peut vous aider à dénicher la formule qui coche toutes les cases (et pas que celles du vétérinaire).
Besoin d’y voir plus clair ? Faites le point sur votre contrat avec un expert de chez NRG Partners.